au commencement

<<Au commencement...>>
Croire à l'Incarnation, c'est heurter de front ce qui semble humainement croyable. C'est
affirmer tout d'abord la réalité d'un événement absolument unique. Cet homme, Jésus, né
de la Vierge Marie, est le Fils de Dieu. Cela a eu lieu dans l'histoire : c'est un événement
daté, situé, unique. Jésus n'est donc pas un "avatar" de la divinité, une de ses
manifestations sensibles. Jamais avant lui, jamais après lui, le Verbe ne fut chair.
Dès lors, cet événement singulier concerne l'humanité entière. Tous les hommes de tous
les temps ont à regarder vers lui. Car Jésus n'est pas seulement un maître qui enseigne le
chemin vers Dieu. Il est ce chemin même parce qu'il est d'abord le chemin de Dieu vers
l'homme.>(Jn 14, 6)
Il n'est pas seulement un exemple, un modèle humain à reproduire. Il est le mystère de
Dieu avec l'homme, de Dieu en l'homme. Il ne suffit pas de croire à ses paroles, d'accepter
son message. Il est lui-même l’Évangile qu'il proclame. Il est venu pour qu'on croie en lui,
pour qu'on s'attache à lui "de tout son coeur, de tout son esprit et de toutes ses forces."
Le paradoxe d'un homme -Dieu
Mais croire à l'Incarnation, ce n'est pas seulement proclamer le caractère unique de
l'événement. C'est aussi affirmer l'identité de cet homme que les croyants disent toujours
vivant. Il y a eu le fait de l'incarnation. Reste le mystère du Verbe incarné. L’Église
ancienne a longtemps cherché les mots justes pour dire cela. Dès le départ, elle a fait
sienne la confession du centurion romain au pied de la croix : "Vraiment cet homme était
Fils de Dieu." Elle a lu, dans les Écritures, spécialement dans les Évangiles, les
témoignages qui attestent que Jésus était réellement homme et réellement uni au Père
d'une union vitale.
C'est en 451 par le concile de Chalcédoine que l’Église proclame le "dogme" de
l'incarnation. Le concile s'est efforcé de rester fidèle à la complexité de l’Écriture, sans rien
en gommer : Jésus est vraiment Dieu et vraiment homme. En lui se rencontrent la pleine
réalité de Dieu et la pleine réalité de l'homme. Mais elles y sont présentes "sans
confusion, sans séparation". L'humanité de Jésus a été assumée. Elle n'a pas été
absorbée, diluée. Jésus est bien un homme, un homme de son peuple, de son époque, de
sa culture. Il met en oeuvre des facultés humaines. Il a connu la croissance de tous les
hommes vers leur maturité. Il est né comme tous les hommes, il est mort comme eux.
Mais c'était bien le Fils de Dieu qui mourait alors d'une mort humaine.
Passage repris sur une revue"Croire".Par le père Joseph Thomas,jésuite

 

                                                                

                                                                      Neuvaine pour la France         

Vierge Marie, 
Notre-Dame de France,
Accueillez nos cœurs d'enfants 
confiants en votre bienveillance.
Guidez les vers Jésus notre Sauveur,
pour recevoir de son Cœur les grâces
de sa divine miséricorde.

Nous vous présentons notre pays,
ses souffrances, ses troubles,
ses conflits,
mais aussi ses ressources
et ses aspirations.

Accueillez-les, purifiez-les, 
présentez-les à votre Fils
afin qu'Il intercède en notre faveur,
qu'Il oriente nos actions vers le Bien
et nous guide dans la Vérité.

Nous vous consacrons la France
dans la fidélité à l'espérance
et la force de l'Esprit Saint
reçues à notre baptême. Amen. 

 

Notre Père qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous soumets pas à la tentation,
mais délivre-nous du Mal.

Amen

Je vous salue, Marie pleine de grâce ;
le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus,
le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
priez pour nous pauvres pécheurs,
maintenant et à l’heure de notre mort.

Amen.

Je vous salue Joseph, 

vous que la grâce divine a comblé,

le Sauveur a reposé dans vos bras et grandi sous vos yeux.

Vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus, 

l’enfant divin de votre virginale épouse, est béni. 

Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu, 

priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé et de travail, 

jusqu’à nos derniers jours et daignez nous secourir à l’heure de notre mort. 

Ainsi soit-il !

 

 

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